Peut-on enseigner dans les classes du primaire – et encore plus dans ses petites classes –, des notions inspirées de concepts issus de disciplines universitaires comme l’axiomatique et la linguistique ? C’est la grande question qui se pose de manière récurrente depuis les années 60/70 et encore de nos jours comme le montre le débat actuel sur le prédicat. La première réponse apportée dans ce court texte est que, comme la question est mal posée, les réponses sont aberrantes. La deuxième réponse est que, si, au lieu de parler d’enseignement en général, on distingue enseignement implicite et enseignement explicite, on peut commencer à avoir des réponses « qui se tiennent ». Mais dans ces tentatives de rationalisation, indispensables mais difficiles à doser, il faut toujours garder en tête la méthode intuitive chère à Ferdinand Buisson qui est mise en défaut lorsque l’enseignant fait un raisonnement qui lui semble logique mais qui ne l’est pas pour l’élève. Bonne lecture. MD
I)
Problématique
II) Résolution du dilemme
i) Enseignement explicite / Enseignement
implicite en grammaire
ii)
Enseignement explicite / Enseignement implicite en calcul
III) Conclusions partielles
Texte complet publié sur le site de ToutEduc (ou en pdf ICI )
La deuxième partie à paraître de la Note technique 1 (la 1b) traitera plus précisément du rapport entre la question des contenus et des méthodes. MD.
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